« Traditions et pratiques »
L’enfant qui voit…peutreproduire
L’enfant qui « sent »… pourrait « devenir »
Et l’enfant de l’enfant a un héritage donné… il peut reproduire et ressentir et devenir !
Saviez-vous que voir la maltraitance des animaux affecte l’enfant ?
Saviez-vous que le Comité des droits de l’enfant des Nations Unies a identifié ces « effets néfastes » ?
Saviez-vous qu’il existe des pays dans le monde où la violence endémique publique envers les animaux est vue par des milliers d’enfants à cause des « pratiques » du gouvernement ?
Article du journal britannique “The Independent” à propos de The Link
Il s’agit d’une puissante dimension émergente qui affecte potentiellement des millions… d’animaux et d’enfants !
Le Comité des droits de l’enfant des Nations Unies a identifié les effets sur les enfants témoins de maltraitance publique des animaux.
<< Droit de l’enfant à être protégé contre toutes les formes de violence »
43. Rappelant son Observation générale no 13 (2011) sur le droit de l’enfant à être protégé contre toutes les formes de violence et le Programme de développement d’ici 2030, le Comité recommande à l’État partie d’accélérer l’adoption d’une stratégie globale pour prévenir et combattre toutes les formes de violence à l’égard des enfants dans le cadre de l’action globale. Il recommande également : (…)
f) Redoubler d’efforts pour changer les traditions et pratiques violentes qui ont un effet néfaste sur le bien-être des enfants, notamment en interdisant aux enfants l’accès à des spectacles de corrida ou à des spectacles connexes.
« La Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant, ou CNUDE, est la base de tout le travail de l’Unicef. C’est la déclaration la plus complète des droits de l’enfant jamais produite et c’est le traité international des droits de l’homme le plus largement ratifié de l’histoire. »… UNICEF
De nouvelles recherches ont montré que les “effets néfastes” identifiés par le Comité des Nations Unies qui sont causés à l’enfant qui assiste à une corrida sont également ressentis par des enfants qui sont témoins d’abus publics d’animaux de compagnie dans des sociétés où les violentes “pratiques de gestion” des animaux sans abri exacerbent cette violence. Cela affecte des millions d’animaux et a un effet résultant potentiel sur plusieurs milliers d’enfants.
Le premier programme d’étude mené dans ce domaine et dans l’un des pays où la maltraitance publique des animaux est endémique, l’étude de l’Université de Teesside en Roumanie a révélé que 86.3 % du groupe de sujets enfants avaient été témoins de maltraitance publique des animaux.
Dans de nombreux pays, cette « expérience » se produit là où il existe de vastes populations d’animaux de compagnie sans abri et que leur maltraitance est en proportion. Veuillez voir la vidéo suivante mais faites preuve de prudence. Vous ne voudrez peut-être pas voir ces scènes de violence et d’abus, mais si vous sentez que vous devez vous détourner… veuillez considérer que les enfants de ces pays n’ont pas un tel choix… ils DOIVENT voir ces choses. Voudriez-vous cela pour VOTRE enfant ?
Regarder avec prudence. C'est la réalité
Les “effets néfastes” causés à l’enfant qui doit voir ces violences et abus publics comprennent une désensibilisation progressive, un processus automatique qui protège la réaction émotionnelle naturelle de l’enfant à une “connexion” empathique avec un autre être sensible. Cela peut provoquer une érosion de l’empathie de sorte que l’enfant cesse d’être empathique et une normalisation de l’agression que l’enfant peut adopter à l’âge adulte et adopter contre les personnes et les biens.
Qu’arrive-t-il à l’enfant exposé à la maltraitance publique massive des animaux :
• À un niveau neurologique, formant la base de « l’empathie » d’un enfant, les neurones miroirs ont été identifiés, suggérant que l’enfant « comprenait » les intentions et les sentiments d’un autre être sensible.
• L’empathie prend deux formes : l’empathie cognitive et l’empathie affective. Ce dernier est la capacité de l’enfant à entrer dans le monde émotionnel d’un autre. Pour comprendre les sentiments, les désirs, les intentions, la joie émotionnelle et la douleur, c’est-à-dire que l’enfant « ressent » ce que ressent l’animal maltraité.
• L’exposition à la violence et à la maltraitance contre un autre être sensible avec lequel l’enfant s’identifie émotionnellement peut entraîner un mécanisme de défense émotionnelle naturel avec une désensibilisation progressive à la maltraitance et une érosion concomitante de l’empathie affective.
• Une exposition continue à la violence et aux abus peut entraîner une normalisation de la violence qui peut ensuite être exercée contre les personnes, les biens et les animaux. En Roumanie, 86.3 % du groupe de sujets enfants ont été témoins de maltraitance publique d’animaux. Des corrélations significatives ont été trouvées entre les agresseurs d’animaux et la violence et les abus envers les personnes et les biens.
• Là où d’importantes populations d’animaux sans abri existent, la réduction de leur statut social encourage la violence et les abus. De même, les stratégies de gestion des animaux sans abri violents diminuent encore le statut social et encouragent la violence.
• L’OIE, le FVE et l’OMS suggèrent des programmes nationaux de stérilisation comme SEULE pratique efficace pour réduire humainement le nombre d’animaux et l’exposition subséquente aux abus.
Protégez l’animal pour sauver l’enfant…
Protégez l’enfant pour sauver l’animal !